Les français auront bien compris que celui qui a eu le courage de poser les bonnes questions et d’y apporter simultanément des réponses, c’est bien Nicolas Sarkozy.
Ceux et celles qui se démènent pour faire des annonces spectaculaires à quelques mois des Présidentielles témoignent de leur insuffisance pour ne pas avoir osé agir avant.
Ceux qui veulent démolir ou devancer les propositions de Nicolas Sarkozy sont tardifs ou ne sont pas en phase des réalités.
Nicolas Sarkozy n’a jamais été Président, ni Premier Ministre et de ce fait n’a jamais eu les pleins pouvoirs pour changer les choses.
En revanche à chacun de ses postes, il a marqué sa mission par des actions courageuses :
Ministre de l’économie, il s’est engagé au risque d’être critiqué : dans le dossier ALSTOM, en défendant la France à Bruxelles ; Ministre de l’intérieur : en traitant le dossier de l’immigration, en osant parler de l’Islam en France…
Certes il est plus facile de critiquer ceux qui osent que ceux qui ne font rien ou pas grand-chose.
Tous les problèmes de société évoqués aujourd’hui ne datent pas des quatre dernières années.
Depuis le Général de Gaulle, nous n’avons pas vu de courage en politique comme celui de Nicolas Sarkozy, sauf dans la guerre d’Irak.
Si aujourd’hui Jacques Chirac s’engage en politique intérieure, il accrédite l’idée de Nicolas Sarkozy qui affirme que le Président de la République ne doit pas être un simple arbitre, dommage que cet engagement soit tardif et motivé pour des intérêts autres que celui de notre pays.
Dominique De Villepin ne peut que se réjouir d’avoir eu dans son gouvernement le Président de l’UMP soutenu par le plus grand nombre des parlementaires, ce qui lui a permis de gouverner , y compris en se passant de Bayroux.
Quant à la gauche, vide de propositions et devant surtout cacher son misérable bilan, qu’aurait-elle à dire pendant la campagne d’autre que de diaboliser Nicolas Sarkozy.
Qui a réduit à néant les propositions utopiques de Le Pen, c’est encore Nicolas Sarkozy.
Un ancien militant RPR ou d’un autre parti qui a enfin le droit à la parole à l’UMP peut-il craindre le manque de démocratie participative avec Nicolas Sarkozy, certes non.
Tout ceci, s’il en est besoin démontre que la France a besoin d’un homme politique courageux pour faire vivre notre démocratie et engager des réformes indispensables.
Une fois cette évidence constatée, le choix devient facile.
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