Dans les années 50 Friedrich décrivait le totalitarisme par les monopoles :
idéologique: une idéologie rendue officielle et dominatrice
médiatique : la presse totalement contrôlée et la communication sous forme de propagande
économique : la production placée sous le contrôle de l'état
le règne par la terreur...
L'idéologie « socialiste » a perdu sa raison d'exister devant la nécessité d'accepter l'économie de marché, du libre échange. Aujourd'hui quand on interroge un socialiste pour lui demander ce que veut dire être de Gauche, il répond comme au siècle précédent, « être contre les injustices » , se croit investi d'un droit divin pour s'imposer comme détenteur de la bonne morale. Comme une évidence que les autres formations politiques n'auraient comme seul idéal que d'asservir le peuple et de rendre les pauvres plus pauvre.
Un parti politique doit proposer un projet pour gouverner le pays et non des dogmes qui relèvent de la spiritualité, voir de la religion.
De cette façon la gauche nous impose un monopole idéologique : à gauche, les gentils, à droite les méchants; un monopole médiatique : la presse revendique et s'affiche aisément d'être à gauche, ne laissant que peu de place aux autres. Une discrimination honteuse pour celui qui veut faire carrière dans le journalisme si il ne s'affiche pas de gauche.De même dans les services publics: éducation nationale, magistrature, transports...
Un monopole économique par la main mise sur les entreprises, par une fiscalité exorbitante.
Un règne par la peur, en diabolisant les propositions de ceux qui veulent traiter nos problèmes de société, la sécurité; l'immigration...
Il existe bien un totalitarisme de gauche et il est à redouter tout autant que celui des extrêmes nationalistes de droite.
Une gauche qui veut « penser pour nous », taxer tous ceux qui se démènent pour avoir un petit quelque chose, diaboliser toux ceux qui ne pensent pas comme elle et qui à l'inverse « pensent à nous et avec nous »
Nous reviendrons à 1789.
L'équilibre des pouvoirs dans notre République, pour notre démocratie est d'avoir des forces politiques qui proposent des mesures concrètes et ne se contentent pas d'être contre celles des autres.
La principale proposition de la gauche consiste à "plus d'impôts" et au "smic pour tous".
Nous ne pouvons plus payer plus, et devons gagner plus.
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