La Misère nous guette

  :

A nouveau notre pays est menacé

Ø      D’avoir à se soumettre au reste du monde

            Nous ne pouvons être absents dans une Europe dont nous sommes Pays fondateur, les autres ne nous attendront pas.

Ø      De détruire notre planète

            Il ne suffira pas d’être riche ou puissant pour se défendre des catastrophes naturelles

Ø      De devoir acheter les produits à l’étranger, faute d’innover

Ø      De voir nos entreprises faire l’objet de rachat par des capitaux étrangers, en raison de leur faiblesse

Ø      De voir nos acquis sociaux n’être que des mots, puisque sans financements

Ø      De voir notre « Egalité » devenue un nivellement par la base, tous smicards

Ø      De voir l’Etat devant être fort, ruiné par la dette

Nous n’avons plus les moyens de nous contenter de « désirs d’avenir », il nous faut un projet d’avenir réalisable construit sur la base d’une réelle volonté politique.

Au printemps 2007, les Français se prononceront sur un projet de gouvernement. Ce projet, Nicolas Sarkozy l'a préparé depuis plusieurs mois avec les élus, les cadres, les adhérents de l’UMP et tous ceux qui veulent que les choses changent dans notre pays.

http://www.u-m-p.org/site/index.php

• « La justice sociale, c'est mettre tous les coureurs sur la même ligne de départ. Il ne faut pas la confondre avec l'égalitarisme, qui consiste à déclarer que tous sont arrivés premier. » Louis Pauwels 
• « Il y a toute les différences du monde entre traiter les gens de manière égale et tenter de les rendre égaux. La première est une condition pour une société libre alors que la seconde n'est qu'une nouvelle forme de servitude. » Friedrich August von Hayek 

La gauche nous propose l’intervention de l’état autoritaire et bureaucratique.

Avec le Smic à 1500€ on ne relance pas la consommation, c’est trop peu pour vivre et quel avenir si l’on doit gagner par son travail toute sa vie un minima.

C'est un social qui tire les individus vers le bas, vers la négation de l'individu, de son autonomie, de son pouvoir de décision et de sa capacité à prendre en main et accepter son destin.

Ainsi vient le communautarisme où l'individu trouve le réconfort dans le nombre et dresse les faibles contre les forts, les uns décrits comme les "bons", les autres comme les "méchants".

Nous devons pouvoir choisir comment "réussir notre vie" et non se battre pour "réussir dans la vie".

Nous sommes différents et tant mieux, devenir un bon menuisier, plombier est tout aussi méritant que devenir un bon ingénieur. Nous avons des rêves et des ambitions différentes.

Force est de constater que devenir "Enarque" n'est pas le gage d'être un bon gouvernant.

Quel mérite les départage?

Nous devons pouvoir vivre dignement et faire preuve de solidarité à l'égard de ceux qui sont victimes des accidents de la vie en les aidant à retrouver leur ordre de marche.

En changeant l'appellation des clochards en SDF, des pauvres en Rmistes, des aveugles en Malvoyants, on ne leur pas donné les moyens et l'espoir de remonter dans l'ascenseur social.

Marginalisés et assistés par des minimas financiers ils ne peuvent plus prétendre à l'égalité des chances, seule vraie égalité.